Ô rage ! ô désespoir ! ô
vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette
infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de
lauriers ?
En ce triste jour du 14 janvier 2013, j'ai perdu, suite à un disfonctionnement informatique, l'ensemble de mes sources.
Une fois remis de cette déconvenue, je me réattèllerai à la tâche. En attendant, je vous remercie pour votre patience et votre compréhension. Cordialement, Jimmy NICOLLE